Mouvements préférentiels et pratique sportive.
La facilité ou « la préférence » d’un mouvement, notamment en sport, pose la question de l’asymétrie constitutionnelle et innée du corps humain.
Le sport se pratique par plaisir, choix et recherche de performances.
Les qualités physiques pour un sport particulier se détectent chez l’enfant qui imite par mimétisme mais aussi chez un adulte attiré par une pratique collective ou individuelle.
Notre raisonnement repose sur l’observation des scolioses de l’enfant.
Exercer une spécialité (Athlétisme, Tennis, hockey…) avec plus de facilité conduit à pouvoir conseiller, prévenir l’apparition de pathologies spécifiques du sport élu et par conséquence permet de réaliser des performances, que ce soit pour un sportif de haut niveau ou un sport de loisirs, en limitant le surmenage de l’organisme.
Unités fonctionnelles dans un sens préférentiel :
C’est sur le principe de compression tissulaire anatomique et physiologique que s’observe et se confirme des unités fonctionnelles dynamiques organisées, permettant une facilité coordonnée et adaptée du geste, pour un sport particulier.

